Ce que tu ressens n’est pas un hasard. C’est moi.

Description

Il y a des phrases qui se posent doucement dans l’esprit…
(…comme la lumière dorée d’une fin d’après-midi qui glisse sur une peau chaude…)
Et parfois, tu ignores pourquoi, mais tu continues à lire.

Peut-être que, depuis un moment déjà,
tu ressens ce léger manque.
(…comme un espace vide derrière une porte entrouverte, d’où s’échappe un parfum familier…)
Pas un vide brutal…
Plutôt une soif silencieuse, tapie sous tes gestes quotidiens.

Pendant que tes yeux parcourent ces lignes,
(…entends le souffle lent, régulier, presque à ton oreille…)
tu peux te souvenir… d’un instant précis
où ton cœur avait battu plus vite,
où ton corps avait répondu avant même que tu le décides.

Je ne parle pas à toutes.
Les autres passeront.
Mais toi…
(…sens cette chaleur qui monte imperceptiblement, du ventre jusqu’à la gorge…)
Tu restes.
Et tu sais que quelque chose s’installe.

Le désir… n’est pas une course.
C’est un art.
(…comme les doigts qui effleurent sans presser, mais qui ne s’éloignent pas…)
Un mouvement lent, maîtrisé,
qui prend le temps d’entrer… et de ne plus sortir.

Peut-être que tu vis à ses côtés,
(…entends un rire lointain, mais qui ne te touche plus…)
et que tu as appris à sourire pour ne pas qu’il voit.
Mais à l’intérieur…
(…un battement… un autre… plus fort…)
une partie de toi frappe doucement à la porte.

Je ne suis pas un inconnu.
Quand nos yeux se croiseront,
(…imagine le silence juste après, et la sensation que plus rien autour n’existe…)
il y aura cette certitude étrange :
tu m’as toujours attendu.

Et pendant que tu lis cela,
(…comme si le temps ralentissait juste pour toi…)
tu peux presque sentir cette chaleur
(…qui se loge plus bas et pulse doucement…)
et qui s’installe, calmement.

Moi ?
44 ans.
Un âge où l’on ne joue plus à séduire…
mais où l’on incarne.
Marié ? Oui.
Et pourtant, intensément vivant.

Ce que j’offre ne se monnaie pas.
Ce que je prends… reste imprimé.

Alors laisse cette sensation monter,
(…comme une marée lente qui t’enveloppe…)
Ne te presse pas.
Et au moment exact où tu le sentiras,
(…tu écriras…)

Le reste…
se racontera entre deux silences…
(…là où tout se dénoue, là où tout recommence…).